Sacré Gaston ! rien ne le décourageait !! Sitôt congédié par Mr Charbi pour des raisons que notre Ostrogoth ignorait copieusement , il se dirigea vers le bureau de la délicieuse et farfelue (il faut d'emblée l'avouer) Mademoiselle Jeanne afin de lui faire entendre sa composition Printanière de premier choix .
Mademoiselle Jeanne , c'est tout un tableau ou les couleurs et les nuances de son tempérament ressortent illico pour qui ouvre l'oeil (et le bon ) au moment ou cette dernière apparaît face à vous de la manière la plus inattendue qui soit . Monsieur Gaston aimait beaucoup mademoiselle Jeanne et cette façon qu'elle avait de tortiller du postérieur en gardant les yeux émerveillés pour tout . Une vraie candide cette Jeanne , une employée modèle aussi ! Contrairement à Gaston Lagauffre qui ne fichait rien de convenable pendant les heures de bureau , notre miss était (et de loin ) toujours la première secrétaire à expédier un dossier ou taper un courrier dans les délais .
Ce jour là , elle était fort occupée à la rédaction d' une lettre que lui avait demandé la direction en vue de la prochaine charrette de Licenciements . Un moment particulièrement douloureux puisque Mademoiselle Jeanne avait en exclusivité la liste des noms de ceux qui allaient goûter de l'ANPE plus tôt que prévu .
Soudain , on frappa à la porte :
-"vouiii !! j'arriiive !! " s'écria t-elle .
39 commentaires:
Un texte d'actualité avec la crise qui sévit. Ta nouvelle mise en scène m'évoque l'ambiance des films de Lautner. Toujours un grand plaisir de découvrir tes nouveaux personnages anachroniques.
Oui tu t'adaptes à l'actu!
oui oui ... c est l actu ! mais cette histoire à une suite, car là je reste sur ma faim, comme dans une BD d EDIKA vois tu ?
Des bises
Bonne fin de journée
Bonjour Jean-Philippe, alors je vois que tu es un grand fan de ce cher Gaston Lagaffe :)) ayant lu quelques-unes de ces BD je peux dire que j'ai bien aimé aussi ce bonhomme !! Je suis québécoise alors je découvre une autre personne d'Europe ici?? Au plaisir de te relire et merci pour ton petit mot. Bonne semaine.
délicieuse Jeanne !! toujours le sourire !! et qu'est-ce qu'elle l'aime son Gaston!!
Passe une belle semaine cher magicien !! muakkkkkkkkkkkkkk
La suite, la suite!!!! Qui est-ce?! Eh eheh! J'aime beaucoup cette histoire qui me semble partie sur de bons chevaux!!
Gaston Lagauffre et la schtroumphette en secrétaire modèle, une satire de l'actu ?
En tout cas, tu sais nous mettre en haleine!
Bizz
Tu as une façon de raconter les histoires, Jean-Philippe, une façon tonique et savoureuse, la même que tu utilises pour écrire tes commentaires ! Merci !
Bonne soirée à toi, et bonne semaine.
Bonsoir Jean-Philippe,
Eurk ! Je détesterais être une « mademoiselle Jeanne. » Triste réalité que tu nous présentes avec beaucoup d'humour.
Continue. Heureusement qu'il en existe des « Jean-Philippe » Faute de quoi, la vie serait insipide :- )
Bises amicales Do.
La pauvre, je n'aimerais pas être la détentrice de telles nouvelles!
Au delà de sa tâche tristement d'actualité (et je vous félicite pour le rapprochement des genres...) j'ai toujours adoré ce personnage tellement attachant...!
Texte touchant... Bonne journée
Comme le dit une lectrice, on reste sur sa faim...La suite s'il vous plaît Monsieur Lagauffre...sourire...
coucou, oh mais c'est pas juste pourquoi tu coupes maintenant
qui sera licencier, qui frappe à la porte ????
Oh t'es pas sympa (lol)
Je te fais de gros bisous
que tu racontes bien !
souvenirs... (d'avoir lu avec plaisir toujours renaissant)
Un sujet bien d'actualité malheureusement que celui des licenciements...
Rha la la !! est-ce que ce cher Gaston est sur la liste ou pas, attendons la suite pour le savoir.
Merci pour cet agréable instant de lecture.
Bonne journée l'artiste.
Bon ! je vois une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvais, Gaston est dans la charette... La bonne, Jeanne va le consoler !!!
J'espère !!!!!
Merci de ta gentillesse,
Amitiés sincères,
OLIVIER
A côté de toi les histoires de Pierre Bellemare c'est de la rigolade^^
Bonsoir Jean-Philippe,
Alors, c'est bien vous le magicien d'Ox? Monsieur le magicien, je vous remercie pour votre visite sur mon blog, ainsi que pour le très gentil commentaire que vous avez écrit. La prochaine fois, venez prendre un thé!
Très amicalement, Kenza
C'est vraiment d'actualité... Heureusement, l'amour est là, naissant et nous évite d'avoir le moral dans les chaussettes !
Vivement la suite! C'est une très bonne histoire imprégnée d'actualité... i kiffe ça !!!
Carte Bleue
Il était une fois un homme d'affaires qui avait de belles maisons à la ville comme à la campagne, de la vaisselle à prix d'or et d'argent, des meubles Louis 14, 15 et 16 en broderie, et des séries limités de Mercedes tout dorés; sans compter des grandes entreprises sans un syndicat, des Multinationnales ( Made in China, la totale quoi )des sociétés anonymes, vraiment anonymes, mais par malheur cet homme avait la Carte bleue : cela le rendait si laid et si terrible, qu'il n'était ni femme ni chien, ni un cafard qui ne s'enfuit devant lui. Une de ses actionnaires, dame de qualité de service après vente, connaissait une secrétaire de direction parfaitement belle et intelligente et parfaitement bilingue. Il lui demanda de venir, pour s'occuper de ces grandes affaires.,
Carte Bleue fut Subjugué par tant de beauté et le contrat se conclut.
Au bout d'un mois Carbe Bleue dit à sa secrétaire qu'il était obligé de faire un voyage à New-York, de six semaines au moins, pour une affaire de conséquence; qu'il la priait de se bien divertir pendant son absence, de bien faire fleurir la maison mère, qu'elle garde sa renomée, son prestige, qu'elle fit venir ses bonnes amies, les meilleurs éléments, les bons investisseurs, les compagnons du devoir et de la copie, les inventeurs, les chercheurs, enfin tout le meilleur gratin, pour que la grande société s'enrichisse et prospère pour des siècles et des siècles, Amen !
-"Voilà, lui dit-il, les clefs des deux grands immeubles, voilà celles de la mine d'or et de mes coffres-forts, où est mon or et mon argent, celles des coffrets où sont mes tracasseries, des paperasseries, des brevets, et diplômes , et voilà le passe-partout de tous les bureaux. Pour cette petite clef-ci, c'est la clef du cabinet au bout de la grande galerie de l'appartement bas : ouvrez tout, allez partout, mais pour ce petit cabinet, je vous défends d'y entrer, et je vous le défends de telle sorte, que s'il vous arrive de l'ouvrir, il n'y a rien que vous ne deviez attendre de ma colère."
Elle promit d'observer exactement tout ce qui lui venait d'être ordonné ; et lui, après l'avoir encaissée, il monte dans son super jet, et part pour son voyage. Toute la Jet-set n'attendirent pas qu'on les envoyât chercher pour aller chez la grande secrétaire, tant elles avaient d'impatience de voir toutes les richesses de cette entreprise, n'ayant osé y venir pendant que le grand patron y était, à cause de sa carbe bleue qui leur faisait peur. Les voilà aussitôt à parcourir les ateliers, les cabinets, les bureaux, toutes plus belles et plus riches les unes que les autres. Ils montèrent ensuite aux salles de réceptions, , où elles ne pouvaient assez admirer le nombre et la beauté des tapisseries, des lits, des sofas, des cabinets, des guéridons, des tables et des miroirs, où l'on se voyait depuis les pieds jusqu'à la tête, et dont les bordures, les unes de glace, les autres d'argent et de vermeil doré, étaient les plus belles et les plus magnifiques qu'on eût jamais vues Elle fut si pressée de sa curiosité, que sans considérer qu'il était malhonnête de quitter sa compagnie, elle y descendit par un petit escalier dérobé, et avec tant de précipitation, qu'elle pensa se rompre le cou deux ou trois fois. Etant arrivée à la porte du cabinet, (ça sentait déjà mauvais) elle s'y arrêta quelque temps, songeant à la défense que son patron lui avait faite, et considérant qu'il pourrait lui arriver malheur d'avoir été désobéissante; mais la tentation était si forte qu'elle ne put la surmonter : elle prit donc la petite clef, et ouvrit en tremblant la porte du cabinet (Cela devenait nauséabond, une infection sûprème, j'en ai bouché mon nez, rien qu'en l'écrivant, pour vous dire, mais continuons à suivre , la secrétaire). D'abord elle ne vit rien, parce que les fenêtres étaient fermées (ça sentait le renfermé, aussi, pas d'Airwick sous la main, non plus); après quelques moments elle commença à voir que le plancher était tout couvert de faux contrats, d'argent sale,de came, d'héroine has been, un vrai bordel, pour être plus clair (c'était tout le traffique que Carbe Bleue avait signé et qu'il avait volé l'une après l'autre). Elle pensa mourir de peur, et la clef du cabinet qu'elle venait de retirer de la serrure lui tomba de la main. Après avoir un peu repris ses esprits, elle ramassa la clef, referma la porte, et monta à son bureau pour se remettre un peu, mais elle n'en pouvait venir à bout, tant elle était émue. Ayant remarqué que la clef du cabinet était tachée d'une encre bleue, elle l'essuya deux ou trois fois, mais l'encre ne s'en allait point ; elle eut beau la laver, et même la frotter avec du savon et avec la javel, il y demeura toujours de l'encre, car la clef était magique, et il n'y avait pas moyen de la nettoyer tout à fait : quand on ôtait l'encre d'un côté, il revenait de l'autre.
Ellle alla voir Gaspard la fripouille, dit Gaston Lagauffre, un génie sans bouillir, pour l'aider à trouver une solution de nettoyage. Mais le résultat, c'est que Gaston marquait lui aussi son empreinte sur la clé.
Ca sentait le vinaigre à plein nez.
Carte Bleue revint de son voyage dès le soir même, et dit qu'il avait reçu des lettres en accusé de réception en chemin, à découvert qui lui avaient appris que l'affaire pour laquelle il était parti venait d'être terminée à son avantage. Cela sentait le grand ménage, la grande lessive pour tout dire, il y en a qui allaient voltiger. Dégager le plancher pour être plus poli.
Un bon polissage,
Sa secrétaire fit tout ce qu'elle put pour lui témoigner qu'elle était ravie de son prompt retour. Le lendemain il lui redemanda les clefs des bureaux et de tous les chéquiers sans provision, et elle les lui donna. Mais d'une main si tremblante, chancelante, avec un sourire crispé, pas gai la guêpe, que le grand Messier devina sans peine tout ce qui s'était passé. (Il avait le rire jaune)
-"D'où vient, lui dit-il, que la clef du cabinet (aisance pour certain) n'est point avec les autres ?"
-" Sans doute», dit-elle, " que je l'ai laissée là-haut sur ma table à repasser, euh, sur mes affaire mon seigneur !."
-" Ne manquez pas», dit la Carte bleue, " de me la donner tantôt." Après l'avoir retardé le plus possible, il fallut apporter la clef. Carbe Bleue, l'ayant examinée, dit à sa secrétaire :
-"Pourquoi y a-t-il de l'argent sale sur cette clef ?"
-" Je n'en sais rien», répondit la pauvre femme, plus pâle que la mort.
-" Vous n'en savez rien», reprit Carte Bleue, " je le sais bien, moi" ; vous avez voulu entrer dans le cabinet des latrines ! Hé bien, Madame, vous y entrerez, et irez prendre votre place auprès des Assédic
Elle se jeta aux pieds de son patron, en pleurant et en lui demandant pardon, avec toutes les marques d'un vrai repentir de n'avoir pas été obéissante. Elle aurait attendri un rocher, belle et affligée comme elle était ; mais Carte Bleue avait le coeur plus dur qu'un rocher de Monaco :
-"Il faut Licencier, Madame, lui dit-il, et tout à l'heure."
-" Puisqu'il faut pointer à l'aube, répondit-elle, en le regardant, les yeux baignés de larmes, donnez-moi un peu de temps pour prier Dieu de la finance." -" Je vous donne un quart d'heure», reprit Carte Bleue, " mais pas un moment de plus."
Lorsqu'elle fut seule, elle appela sa standardiste, et lui dit :
-"Ma soeur JeAnne (car elle s'appelait ainsi), monte sur tes grands chevaux, je te prie, sur le haut de la tour Total, pour voir si Gaston Lagauffre et Lucien Lacrêpe ne viennent point ; ils m'ont promis qu'ils viendraient me voir aujourd'hui, et si tu les vois, fais-leur signe de se hâter."
La soeur JeAnne monta sur le haut de la tour Elf, (c'était une autre tour jumelle, elle était plus accessible et elle pouvait y voir plus clair, et plus loin, nom d'un chien) et la pauvre affligée lui criait de temps en temps :
-"JeAnne, ma soeur JeAnne, ne vois-tu rien venir ?"
Et la soeur JeAnne lui répondait :
-"Je ne vois rien que les finances qui pourroie, et le patron qui merdoie."
Cependant Carte Bleue, tenant un grand fourreau à la main, criait de toute sa force à sa secrétaire :
-"Descends vite, ou je monterai là-haut."
-" Encore un moment s'il vous plaît", lui répondait sa secrétaire et aussitôt elle criait tout bas :
-"JeAnne, ma soeur JeAnne, ne vois-tu rien venir ?"
Et la soeur JeAnne répondait :
-"Je ne vois rien que les actionnaires qui nous noient, et le patron qui merdoie."
-"Descends donc vite, criait la Carte bleue, ou je monterai là-haut."
-" Je m'en vais", répondait sa secrétaire, et puis elle criait :
-"JeAnne, ma soeur JeAnne, ne vois-tu rien venir ?"
-" Je vois», répondit la soeur JeAnne, " une grosse monnaie qui vient de ce côté-ci."
-" Sont-ce nos sous?"
-" Hélas ! Non, ma soeur, c'est un troupeau de gloutons."
-" Ne veux-tu pas descendre ?" criait la Carte bleue.
-" Encore un moment", répondait sa secrétaire; et puis elle braillait :
-"jeAnne, ma soeur JeAnne, ne vois-tu rien venir ?
-" Je vois», répondit-elle, " deux ahuris qui viennent de ce côté-ci, mais ils sont bien loin encore. Dieu soit loué», s'écria-t-elle un moment après, " ce sont nos confrères ; je leur fais signe tant que je puis de se hâter."
Carte Bleue se mit à crier si fort que toute l'immeuble en trembla. La pauvre femme descendit, et alla se jeter à ses pieds toute éplorée et toute échevelée.
-"Cela ne sert de rien», dit Carte Bleue, " il faut payer."
Puis la prenant d'une main par les cheveux, et de l'autre levant un stylo en l'air, il allait lui payer de sa tête. La pauvre femme se tournant vers lui, et le regardant avec des yeux mourants, le pria de lui donner un petit moment pour se recueillir.
-"Non, non», dit-il, " recommande-toi bien à Dieu"; et levant son bras...Je vais te faire signer ton arrêt de mort, ta fin de contrat ....plus de CDD, ni de CDI,
A ce moment on heurta si fort à la porte, que Carte Bleue s'arrêta tout court : on ouvrit, et aussitôt on vit entrer deux uluberlus (Lagauffre et lacrêpe) qui, mettant la main à la pate, coururent tout droit à Carte Bleue.
Arrivés un distributeur de billet,: ils insèrerent Carte Bleue dans la machine, et le laissèrent à l'intérieur, en indiquant que c'était une Carte volée. Enfin bloquée et emprisonnée cette Carte bleue.
La pauvre secrétaire était presque aussi morte de rire que Gaston et de Lucien, et n'avait pas la force de se lever pour embrasser ses amis fidèles. Il se trouva que Carte Bleue avait fait faillite avec les Subprime,
Alors on décida de la détruire.
et c'est qu'ainsi sa secrétaire demeura maîtresse de tous ses biens. Elle en employa une partie à marier sa soeur JeAnne avec le jeune Gaston, dont elle était aimée depuis longtemps ;
ça ce n'est pas une surprise
une autre partie à acheter des charges pour développer la company; puis le principal c'était qu'elle décreta qu'il n'y aurait plus de licenciement, des embauches et des augmentations de salaires, et que la société deviendrait un modèle aux yeux de la société. (enfin Faut pas rêver non plus, c'est un conte)
et le reste à se marier elle-même à un fort honnête homme (Monsieur Argencontent), qui lui fit oublier le mauvais temps qu'elle avait passé avec Carte bleue.
Amikalement sic
Oh mais c'est pas vrai... c'est la crise aussi dans ton texte !!
Et alors.... que se passe t'il ensuite ?
oui c'est l'actu actuelle mais après dis nous après après tu sais toujours nous tenir en haleine dans tes récits j'adore tu devrait écrire des romans policiers tu à le don !!! amitiés phil
Bonjour, Jean-Philippe.
Merci beaucoup pour cette composition très réussie où les portraits sont toujours esquissés avec humour...même si, à la fin, il devient de l'humour noir.
Vérités de l'actualité...
Bon courage pour toi.
Amicalement à toi.
ah j'aime bien la suite jean Philippe, en plus tu colles à l'actualité, avec cette évocation des charettes et de l'ANPE. Sauf que ton histoire est bien plus succulente que ce qu'on lit dans les journaux.
Baisers printaniers
Armandie
Bonjour Jean-Philippe,merci de ta visite,et de ton beau commentaire.
Tu écris toujours?
Bonne journée et À bientôt.
Ben voila ! Tout à fait dans le ton du jour, avec des charettes de licenciements ....
Bon, alors, on ne sait pas qui frappe !!! A suivre ...
Bonne fin de semaine ! Bisoux.
Dom
...qui sera licencié ? qui frappe à la porte ? c'est ça le suspense !! bravo Jean Philippe pour ces belles histoires, merci pour tes visites, amitiés et bisous de Jeanine et René
Arf! Quelle coïncidence: je suis en train de relire tous mes vieux Lagaffe! Puisque tu es musicien Jean-Philippe tu vas bien nous jouer un petit air de gaffophone??
:)
La suite! La suite! La suite!
ANPE = PÔLE EMPLOI désormais, même si l'inefficacité du système demeure.
Le problème devient vraiment préoccupant pour les jeunes.
Bon WE Jean Philippe.
bonjour
est elle sur la liste??????????
vous le saurez e,n lisant le captivant feuilleton............
la suite
patrick
Tres belle histoire humoristique:
bon week end
Amicalement Yves
à Mlle Jeanne ! Elle a accompagné mon adolescence. J'adorais Gaston et depuis quelques temps me prend l'envie de refaire la collection de tous les albums s'étaient si savoureux, si gentillet...
Je suis toujours une fan de de tes récits, vraiment j'adore!!!!
Encore une histoire bien racontée!
Merci pour ton passage en mon absence, ça fait chaud au cœur.
Je te souhaite de passer un bon dimanche
Gros bisous
Viviane
Le suspense est insoutenable mais comme j'ai eu l'outrecuidance de commencer par le chapitre suivant, je sais ce qu'il advint des malheureux courriers malencontreusement empilés en ladite Charette de Licenciements...
Euh... les délicieuses ondulations du bassin méditerranéen de Moizelle Jeanne sont assez bien rendus, ma foi !
Bref, tout est bon et le père De Pacemaker devrait être jugé prochainement - comme tous ses collègues du CAC 40 - devant un Tribunal Pénal International pour "crimes économiques" (et contre l'intelligence Lagaufresque)... mais n'anticipons pas...
Bravo donc, cher Ami ! Et merci de tes mots chaleureux pour nos deux tourtereaux pyrénéens (Chris & Val en miroir de Moizelle Jeanne & Gaston)... Le renvoi d'ascenceurs est chez nous naturel - comme chez Spire & Strike : d'une sincérité et d'une fiabilité à toute épreuve... Ouf !
Malheureusement beaucoup trop d' actualité en n'importe quel endroit de notre planète :(
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